2.C Établissement et intégration
C.6 How is education treated?
(vii) À qui revient la responsabilité d’assumer les frais de scolarité et les autres dépenses liées à l’éducation?
Comment le Canada le fait
L’enseignement de niveau primaire et secondaire est financé par les provinces canadiennes; les réfugiés ont accès à l'éducation gratuite. Les répondants du secteur privé sont censés assumer les coûts initiaux liés à l'entrée à l’école. Les étudiants postsecondaires, y compris les réfugiés, doivent payer des frais de scolarité et engager d’autres dépenses liées aux études, mais les résidents permanents sont admissibles à une aide financière provinciale comme des prêts, des allocations et des bourses d’études.
L’enseignement de niveau primaire et secondaire est financé par les provinces canadiennes; les réfugiés ont accès à l'éducation gratuite. Il est attendu que les répondants paient les coûts initiaux liés à l’éducation, ce qui comprend les fournitures scolaires comme les livres, la papeterie, les instruments, les uniformes (le cas échéant), etc.
Les étudiants postsecondaires, y compris les réfugiés, doivent payer des frais de scolarité et engager d’autres dépenses liées aux études. Les réfugiés n’ont pas à payer des frais d’étudiant international. En tant que résidents permanents, ils sont admissibles à une aide financière provinciale comme des prêts, des allocations et des bourses d’études. La plupart des universités et des collèges offrent des programmes de bourses aux étudiants réfugiés admissibles. Par exemple, en 2015, l’Association nationale des collèges de carrière a offert la somme de deux millions de dollars en bourses afin de payer les frais de scolarité de 200 réfugiés syriens.
De nombreuses organisations et entreprises financent également des bourses d’études pour les réfugiés. Entraide universitaire mondiale du Canada est une autre organisation qui mobilise les associations étudiantes d’un bout à l’autre du pays afin qu’ils versent de petites contributions pour la cause du parrainage et du paiement des frais de scolarité d’étudiants postsecondaires réfugiés.